I .Anglais
Ecrit :
* dans l’épreuve de compréhension, rappel qu’il n’est pas besoin d’introduction.
* ce qui différencie essentiellement les copies : les qualités de synthèse, refusant le « copier/coller » (s’il est intégral, le jury rappelle que cela équivaut à une absence de réponse); la qualité de l’expression (parfois inintelligible), tant en anglais qu’en français ; l’attention au sujet .
* la notation : qualité de l’anglais : 2 /3 de la note, qualité du contenu : 1 /3 pour ce qui est de l’expression écrite ; pour la question de compréhension, c’est l’inverse.
* pour la version, les fautes sont comptabilisées par segments inégaux en fonction de la difficulté et l’on arrête de décompter les fautes quand le maximum est atteint.
Oral :
* en ce qui concerne la vidéo, le jury rappelle qu’il s’agit de rendre compte de ce que l’on a compris, pas de décrire les images.
* en plus des sujets de société, le jury a proposé des sujets liés à la science et à la biologie, mais constate que même pour ces sujets des étudiants disent qu’ils ne sont pas spécialistes de tel ou tel aspect évoqué…
* les sujets sont liés à l’actualité, mais au sens large (par exemple, on préférera la connaissance précise du système électoral aux Etats-Unis au récit sans aucun recul des derniers événements qui défrayent la chronique aux Etats-Unis).
II.Français :
* réussites très diverses et hétérogènes en analyse de texte, exercice reconnu comme difficile et dans lequel il faut s’attacher à garder l’essentiel, tout en adoptant un reformulation précise.
* meilleure connaissance des œuvres appréciée par le jury
* attention pourtant au « plaquage » dans le développement composé de cours ou de développements tout faits sur les œuvres.
Compte rendu rédigé par Annie Wyss
